Actif non courant : définition, exemples et méthodes de calcul
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Actif non courant : définition, exemples et méthodes de calcul

Les actifs non courants sont les biens et ressources qu’une entreprise conserve plus d’un an pour soutenir son activité et créer de la valeur sur le long terme :

  • Ils comprennent les immobilisations corporelles (terrains, bâtiments, machines), les immobilisations incorporelles (brevets, licences logicielles, marques) et les investissements financiers à long terme.
  • Leur évaluation comptable dépend du type d’actif et du référentiel appliqué. En normes françaises, la plupart des actifs non courants sont comptabilisés au coût d’acquisition diminué des amortissements et des dépréciations.
  • Dans le bilan comptable, ils apparaissent en haut de l’actif et traduisent la solidité et la stratégie d’investissement de l’entreprise.
  • La bonne gestion des actifs non courants est un levier clé de performance, de rentabilité et de compétitivité.

Le rôle stratégique des actifs non courants dans la gestion d’entreprise

Tous les actifs n’ont pas la même fonction dans votre entreprise. Certains, les actifs circulants comme la trésorerie ou les stocks, assurent le fonctionnement quotidien. D’autres, les actifs non courants, garantissent votre stabilité financière et soutiennent votre croissance sur le long terme.

Ces actifs représentent les ressources qui maintiennent votre activité et soutiennent vos ambitions. Les actifs immobilisés, matériels ou immatériels, traduisent vos investissements à long terme et conditionnent la performance future de votre entreprise. 

Ils favorisent la productivité, la rentabilité et la valorisation globale de votre patrimoine professionnel. En maîtrisant leur gestion, vous améliorez vos stratégies d’investissement et optimisez votre impact comptable.

Qu’est-ce qu’un actif non courant et pourquoi est-il important ?

Les actifs non courants sont au cœur de la solidité de votre entreprise. Ils regroupent tous les éléments d’actifs destinés à être conservés plus d’un an, et qui génèrent des avantages économiques durables. Leur rôle dépasse la détention de biens : ils participent à la création de valeur, à l’innovation et à la continuité de votre activité.

Définition d’un actif non courant : les caractéristiques principales

Selon les normes comptables IFRS et le Plan Comptable Général (PCG), un actif non courant correspond à un bien ou un droit que vous conservez sur plus d’un exercice comptable. 

À noter que sous le référentiel IFRS (norme IAS 1), la distinction ne repose pas uniquement sur une échéance de douze mois. Un actif est classé comme non courant s’il ne répond pas aux critères de l’actif courant (c’est-à-dire lié au cycle normal d’exploitation, détenu à des fins de transaction ou réalisé sous douze mois). Il s’agit donc des ressources structurelles que l’entité n’a pas l’intention de liquider à court terme, telles que les immobilisations corporelles et incorporelles.

Un actif non courant doit générer des avantages économiques futurs pour l’entreprise, que ce soit par son utilisation, sa détention ou sa revente. Il se distingue également par sa faible liquidité et par le fait qu’il soutient votre structure de production ou vos services sur la durée.

La catégorie des actifs non courants englobe :

  • Les actifs tangibles, comme les bâtiments, machines et installations techniques;
  • Les actifs intangibles, tels que les brevets, logiciels, marques et licences logicielles; 
  • Les actifs financiers, comme les titres de participation, prêts à long terme ou obligations détenues.

Chacun joue un rôle stratégique dans la valorisation des actifs et dans la solidité du modèle économique de votre entreprise. Leur gestion rigoureuse assure la pérennité de votre patrimoine et une représentation fidèle de votre santé financière.

Quelle est la différence entre un actif circulant et un actif fixe ?

Les actifs fixes (ou actifs immobilisés) sont destinés à servir durablement à votre entreprise, souvent pendant plusieurs exercices comptables. Ils représentent les ressources qui soutiennent votre activité de manière stable, comme les machines, les bâtiments ou les logiciels. Leur rôle est de générer des revenus sur le long terme, même s’ils ne sont pas directement convertibles en liquidités.

À l’inverse, les actifs courants (ou actifs à court terme) sont renouvelés régulièrement. Cela inclut les stocks, les créances clients, qui peuvent être rapidement transformés en trésorerie, et les charges payées d’avance. Ces éléments garantissent la flexibilité financière nécessaire pour assurer la continuité des opérations.

Cette classification des actifs structure votre bilan comptable et offre une vision claire de la répartition entre les ressources à court et à long terme. En l’analysant, vous pouvez mesurer votre autonomie financière, ajuster vos stratégies d’investissement et anticiper vos besoins de financement. Cette distinction contribue directement à la compréhension de votre gestion des actifs et de votre stabilité économique.

Les principaux types d’actifs non courants

Les principaux types d’actifs non courants

Les actifs non courants se divisent en trois grandes catégories : les actifs tangibles, les actifs intangibles et les investissements à long terme. Ensemble, ils forment la base des règles comptables relatives à la comptabilisation des actifs dans le bilan comptable.

Actifs physiques durables : les actifs tangibles

Les actifs tangibles regroupent les biens immobiliers et matériels indispensables à votre activité :

  • Les terrains et bâtiments
  • Les machines et équipements de production 
  • Les véhicules, le mobilier et l’outillage

Les actifs fixes dont la durée d’utilisation est limitée (tels que les bâtiments ou les machines) s’amortissent selon une durée d’utilisation déterminée. L’amortissement actif non courant réduit progressivement leur valeur comptable pour refléter leur usure réelle. Pour préserver la valeur de ces actifs, il faut mettre en place politique de maintenance efficace et de réaliser des mises à jour régulièrement.

Actifs incorporels : les moteurs de valeur future

Les actifs intangibles regroupent les ressources immatérielles qui participent à la croissance et à la notoriété de votre entreprise :

  • Les brevets, licences, logiciels, marques;
  • Les fichiers clients (uniquement dans le cas d’un achat de fichier), droits d’auteur, relations commerciales. 

Une précision comptable sur le fichier client : en comptes individuels (PCG), ces relations ne sont généralement pas reconnues séparément et sont incluses dans le fonds commercial. Selon IFRS 3 (lors d’un regroupement d’entreprises), elles doivent être comptabilisées comme un actif distinct du goodwill si elles sont identifiables, c’est-à-dire : soit parce qu’elles sont séparables (susceptibles d’être vendues ou transférées isolément); ou parce qu’elles résultent de droits contractuels ou d’autres droits légaux (le critère le plus souvent applicable aux relations clients acquises).

Ces actifs sont essentiels pour renforcer votre avantage concurrentiel et soutenir votre valorisation des actifs.

En France, les immobilisations incorporelles jouent un rôle central dans la transformation numérique des entreprises. Les licences logicielles, en particulier, représentent une part croissante des investissements dans les PME technologiques, les start-ups et les sociétés de services numériques. 

Ces actifs soutiennent la compétitivité et l’innovation, tout en constituant un levier majeur de création de valeur à long terme. Leur bonne gestion et leur valorisation contribuent directement à la performance et à la rentabilité des entreprises du digital.

Les investissements dans les actifs incorporels connaissent une progression constante : selon la WIPO, la France a consacré 15 % de son PIB à ce type d’actifs en 2024 et soit une hausse de 5 % entre 2023 et 2024. Ce dynamisme reflète la montée en puissance des industries numériques et de la propriété intellectuelle.

Investissements financiers à long terme

Les investissements à long terme englobent les participations dans d’autres entreprises, les titres immobilisés, les obligations ou encore les prêts à long terme. Ces placements contribuent à la diversification de vos revenus et à la consolidation de votre patrimoine professionnel.

Ils répondent à des règles comptables précises pour la comptabilisation des actifs financiers, notamment en ce qui concerne la dépréciation ou les fluctuations de marché. 

En normes françaises (PCG), ces actifs sont généralement portés au coût historique. Leur suivi rigoureux permet d’anticiper les pertes de valeur (dépréciations) en se référant à leur valeur d’utilité ou à leur valeur probable de négociation, tout en optimisant la gestion des actifs financiers.

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Comment évaluer et calculer un actif non courant ?

Évaluer les actifs non courants est une étape indispensable pour garantir la fiabilité de vos comptes. Elle influe directement sur votre bilan comptable, vos décisions d’investissement et la présentation de votre valeur comptable.

Calcul de la valeur comptable selon les règles françaises

La valeur comptable ne se calcule pas toujours de la même manière pour tous les actifs non courants. 

Sous le Plan Comptable Général, la formule :

Valeur comptable = Coût d’acquisition – Amortissements cumulés

ne s’applique qu’aux actifs amortissables évalués selon le modèle du coût. Cela concerne notamment les immobilisations corporelles (hors terrains) et la plupart des immobilisations incorporelles à durée d’utilisation déterminable.

Les terrains, par exemple, ne sont pas amortis. Certains actifs incorporels à durée de vie non déterminable — comme certains fonds commerciaux sous conditions — ne sont pas amortis mais soumis à des tests de dépréciation. 

Quant aux immobilisations financières, elles ne suivent pas un schéma d’amortissement mais sont généralement évaluées au coût historique, éventuellement diminué de dépréciations si leur valeur actuelle est durablement inférieure.

Comprendre la valorisation nette d’un actif

Pour obtenir une vision plus réaliste, il est nécessaire d’intégrer les dépréciations liées à la perte de valeur d’un actif :

Actifs non courants nets = Valeur brute – Amortissements – Dépréciations

Cette méthode ajuste la valorisation des actifs à leur valeur économique réelle. Vous pouvez ainsi identifier les actifs sous-performants, planifier leur remplacement et renforcer la rentabilité de votre entreprise.

Comment les actifs non courants sont présentés dans les documents financiers

Comment les actifs non courants sont présentés dans les documents financiers

Les actifs non courants apparaissent de manière structurée dans vos états financiers. Leur présentation reflète vos stratégies d’investissement et la gestion durable de vos ressources.

Position dans le bilan comptable

Dans le bilan comptable, les actifs non courants sont répertoriés en haut de l’actif :

  • Immobilisations incorporelles (brevets, licences, fonds commercial);
  • Immobilisations corporelles (terrains, bâtiments, machines);
  • Immobilisations financières (participations, prêts à long terme).

Cette classification des actifs met en évidence la proportion d’actifs à long terme par rapport aux actifs à court terme. Elle permet d’évaluer la stabilité financière et la solvabilité de votre entreprise, ainsi que la gestion de sa liquidité structurelle. Vous pouvez approfondir cette notion dans notre guide complet sur le bilan comptable.

Impact sur le compte de résultat via l’amortissement

Les dotations aux amortissements traduisent la consommation économique de vos actifs et illustrent comment vos ressources s’usent au fil du temps. Ce mécanisme permet de répartir le coût d’un actif sur toute sa durée d’utilisation et réduit progressivement sa valeur comptable.

Bien que l’amortissement diminue votre résultat comptable, il ne se traduit pas toujours directement par une réduction immédiate et équivalente de votre résultat imposable. Les différences entre l’amortissement purement comptable (basé sur la durée d’usage économique) et l’amortissement fiscal (régimes dégressifs, exceptionnels ou non-déductibilité de certains actifs) sont gérées par les amortissements dérogatoires.

L’amortissement n’a pas qu’une portée fiscale : il donne une vision plus juste de la rentabilité de vos actifs fixes et de la performance opérationnelle de votre entreprise. En choisissant des durées d’amortissement adaptées à la nature de vos biens, vous reflétez la réalité économique de leur utilisation. Vous pouvez également suivre l’impact comptable de chaque actif sur le long terme et ajuster vos stratégies d’investissement en conséquence.

Enfin, ces dotations permettent de mieux comparer la productivité de vos différents éléments d’actifs, en liant leur coût d’acquisition à leur capacité à générer des revenus sur plusieurs exercices.

Valorisation stratégique des immobilisations

Vos actifs non courants témoignent de votre vision à long terme et de votre capacité à investir pour renforcer votre position sur le marché. 

Une gestion des actifs efficace repose sur un suivi régulier de la valorisation des actifs, mais aussi sur la capacité à adapter vos choix d’investissement aux évolutions économiques et technologiques. Cette approche vous aide à identifier les opportunités d’optimisation et à maintenir un équilibre entre performance et prudence financière.

Pour une meilleure organisation, vous pouvez ouvrir un compte professionnel en ligne. Vous centralisez ainsi vos paiements, vos achats d’immobilisations et la gestion de vos investissements, tout en gagnant en visibilité sur vos opérations et en améliorant la maîtrise de vos flux de trésorerie.

Bonnes pratiques pour gérer les actifs à long terme

Bonnes pratiques pour gérer les actifs à long terme

Une gestion proactive des actifs non courants vous aide à préserver la valeur de votre patrimoine et à maximiser le rendement de vos investissements.

Méthodes d’amortissement en France : comptable et fiscale

L’amortissement, qui doit refléter la consommation réelle des avantages économiques de l’actif (méthode comptable), s’articule autour de deux approches principales sous le PCG :

  • L’amortissement Linéaire : la charge d’amortissement est constante chaque année. Cette méthode est utilisée lorsque l’usure de l’actif est jugée régulière et uniforme, comme pour les bâtiments ou le mobilier.
  • L’amortissement par Unités d’œuvre (Unités de production) : la charge d’amortissement est calculée en fonction du niveau d’activité réel de l’actif (heures de fonctionnement, unités produites). Cette méthode est privilégiée lorsque l’usure est directement liée à l’usage et non au temps.

Le régime dégressif n’est pas une méthode comptable visant à refléter l’usure économique. 

Il s’agit d’un avantage fiscal permettant de déduire une charge plus importante les premières années : 

  • L’amortissement dégressif est appliqué à des biens spécifiques (souvent équipements industriels ou informatiques).
  • L’écart entre l’amortissement linéaire (économique) et l’amortissement dégressif (fiscal) est enregistré dans les amortissements dérogatoires au passif du bilan, car il s’agit d’une différence fiscale et non d’une consommation économique réelle.

Cette distinction est cruciale pour une présentation conforme aux normes françaises.

Le choix de la méthode dépend du type d’actif, de son rythme d’utilisation et de vos objectifs de gestion. Il influe directement sur votre résultat net, votre impact comptable et votre valorisation des actifs.

La dépréciation des actifs : test de perte de valeur

Si un actif perd durablement de sa valeur, vous devez le déprécier. Une dépréciation (ou test de dépréciation, impairment test) est comptabilisée lorsqu’il existe un indice que la valeur comptable nette d’un actif est supérieure à sa valeur recouvrable. Ce mécanisme est essentiel pour s’assurer que les actifs ne sont pas surévalués au bilan. 

Les normes comptables IFRS imposent un suivi régulier des actifs intangibles afin d’assurer une évaluation fidèle et conforme aux règles comptables. La fréquence de ce suivi dépend de la nature de l’actif.

Test de dépréciation annuel obligatoire : Le test de dépréciation doit être effectué au minimum une fois par an (quel que soit l’indicateur), pour les actifs suivants :

  • Le Goodwill (écart d’acquisition);
  • Les actifs intangibles avec une durée de vie utile indéfinie (ex: certaines marques ou licences);
  • Les actifs intangibles non encore disponibles pour l’utilisation (ex: logiciels en cours de développement).

Test de dépréciation sur indication : Pour tous les autres actifs intangibles (ceux avec une durée de vie définie, comme la plupart des brevets ou logiciels utilisés), le test de dépréciation n’est effectué que lorsqu’il existe un indice de perte de valeur (baisse de marché, performance en deçà des attentes, etc.).

Cette distinction est cruciale sous IFRS pour garantir la fiabilité de la valorisation des actifs.

Maintenance et modernisation : penser long terme

Pour maintenir la valeur de vos actifs non courants, planifiez leur entretien et leur mise à jour :

  • Effectuez une maintenance préventive adaptée à chaque type d’actif
  • Modernisez vos équipements et mettez à jour vos logiciels
  • Anticipez le remplacement des actifs devenus obsolètes.

Ces actions prolongent la durée de vie de vos actifs immobilisés, réduisent les coûts d’exploitation et soutiennent votre rentabilité. Elles participent aussi à votre valorisation des actifs et à la durabilité de vos stratégies d’investissement.

Questions Fréquemment Posées

Un actif non courant est un bien ou un droit que l’entreprise détient de manière durable et qui n’est pas destiné à être cédé ou consommé dans le cadre de son activité courante. Bien qu’il soit souvent associé à une détention supérieure à douze mois (PCG), les normes IFRS (IAS 1) exigent une analyse plus large : un actif est non courant s’il n’est pas réalisé dans le cycle normal d’exploitation (même si celui-ci excède un an) et s’il n’est pas détenu à des fins de transaction. Il regroupe les outils structurels de l’entreprise (immobilisations).

Un actif non courant (ou actif immobilisé) est un élément de patrimoine destiné à être détenu de manière durable par l’entreprise. Bien que l’on s’attende généralement à ce qu’il soit conservé au-delà de douze mois, la classification est plus nuancée : il regroupe tout actif qui n’est pas réalisé dans le cadre du cycle normal d’exploitation (même si ce cycle excède 12 mois), qui n’est pas détenu à des fins de transaction, et qui n’est ni de la trésorerie ni réalisé dans les 12 mois. Sa nature est donc définie par opposition aux critères stricts de l’actif courant (IAS 1).

Les actifs non courants se divisent en trois grandes catégories : les actifs corporels, les actifs incorporels et les actifs financiers. Les premiers sont matériels (bâtiments, machines), les seconds immatériels (brevets, marques, logiciels), et les troisièmes concernent les placements ou participations à long terme.

Il existe trois types d’actifs : les actifs corporels, les actifs incorporels et les actifs financiers. Ces catégories représentent respectivement les biens matériels, les ressources immatérielles et les investissements à long terme détenus par l’entreprise.

Un actif immobilisé, ou actif non courant, est détenu durablement par l’entreprise pour soutenir son activité. Il n’est pas destiné à être vendu à court terme. L’actif circulant, en revanche, regroupe les éléments rapidement convertibles en liquidités, comme les stocks, les créances ou la trésorerie.

Les actifs immobilisés incluent les immobilisations corporelles (terrains, bâtiments, matériel industriel), les immobilisations incorporelles (brevets, logiciels, et éléments incorporels du fonds de commerce qui ne peuvent être comptabilisés séparément) et les immobilisations financières (participations, prêts à long terme). Ces biens contribuent à la stabilité et à la productivité de l’entreprise.

Le passif non courant correspond aux dettes et obligations financières que l’entreprise doit rembourser sur une période supérieure à douze mois. Il comprend notamment les emprunts à long terme, les provisions pour risques et charges, ainsi que certaines dettes fiscales différées.

La classification des actifs distingue deux grandes catégories : les actifs non courants, destinés à être conservés durablement, et les actifs courants, utilisés ou convertis en liquidités à court terme. Cette distinction structure le bilan comptable et permet d’évaluer la solidité financière d’une entreprise.

Les actifs se répartissent en deux grandes familles : les actifs courants, liés aux opérations quotidiennes, et les actifs non courants, qui soutiennent la stratégie à long terme. Ensemble, ils reflètent la capacité de l’entreprise à financer son activité et à assurer sa croissance.

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